

Olivier Razemon, spécialiste de la mobilité et des transports et auteur du livre à succès « Comment la France a tué ses villes » aux éditions Rue de l’échiquier était à Saillans le 31 mars à l’occasion de la Semaine de l’économie locale pour une table-ronde animée avec Villages Vivants. Nous lui avons rapidement parlé de Bancs Publics après la conférence, ce qui nous a valu une dédicace de sa part… : « Pour Bancs Publics, bravo pour votre initiative, la ville a besoin d’êtres humains, de bancs, de places, de conversations, pas de parkings ! ».
Dans un des derniers articles publié sur son blog, il évoque non sans humour le fameux syndrome du « il-faut-plus-de-places-de-parking »… Morceaux choisis :
- … « pour qu’une ville soit vivante, il faut d’abord y laisser circuler les piétons, car sans espace de vie, ce n’est plus une ville mais un garage à voitures à ciel ouvert. J’ai rappelé que personne ne proposait de tout piétonniser, mais qu’il fallait permettre au piéton de traverser la ville »…
- … »le principal problème, dans les villes de France, c’est l’étalement urbain incessant, la prolifération des zones commerciales, la délocalisation des équipements publics, le fait d’organiser le territoire uniquement en fonction de la voiture, précisément »…
Lire l’article complet intitulé « Je crois que c’est le mot ‘planète’ qui l’a énervé, le Monsieur » du 30 avril 2018.